Témoignages
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Carole "Née dans un foyer catholique « croyant mais pas pratiquant », j'ai été initiée au respect de Dieu en maternelle dans une école confessionnelle. Agée de 6 ans, je vécus un bouleversement à l'occasion de la conversion de mon père." |
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Eléonore
"J’ai cherché longtemps le bonheur. Je l’ai cherché dans des amis, dans des lieux, dans des façons de penser et des philosophies de vie. Dans des événements. Dans ma propre personne. Et je ne l’ai pas trouvé. Bien sûr, j’ai vécu des moments de bonheurs, je me suis créé de bons souvenirs. Mais il me manquait un bonheur durable, une joie qui ne me quitterait pas."
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Marie-Madeleine
« Mon coeur est rempli de joie parce que je suis devenue enfant de Dieu par ma nouvelle naissance. Combien je rends grâce à Dieu de m'aider à supporter l'absence de mon mari et d'être toujours près de moi. Durant les nuits où j'ai peur, j'appelle Jésus et Il m'apaise… » |
Née dans un foyer catholique « croyant mais pas pratiquant », j'ai été initiée au respect de Dieu en maternelle dans une école confessionnelle.Agée de 6 ans, je vécus un bouleversement à l'occasion de la conversion de mon père.
Ayant poussé sa recherche effrénée de Dieu dans les religions orientales, il pratiquait le yoga, la méditation transcendantale, et la magie à un stage avancé.Après sa conversion, je le vis brûler tous ses livres de yoga et de magie, comme le firent les chrétiens décrits dans le chapitre 19 du livre des Actes (Nouveau Testament).Ma mère puis le frère de mon père se convertirent, et par un effet domino, toute une troupe de jeunes parents et de jeunes gens des alentours se fit baptiser.
Cela marqua ma foi d'enfant, mais surtout, je reçus ma première Bible à l'âge de 7 ans, une vrai Bible d'adulte que j'avais plaisir à lire la semaine.J'y relisais les histoires de l'école du dimanche et c'est ainsi que j'ai grandi avec bonheur au sein de l'église. Mes monitrices m'ont marquée jusqu'à ce jour car je pense encore à leur enseignement de la Parole de Dieu.Plus tard, ma grand-mère paternelle se convertit alors qu'elle était la plus opposée de la famille à notre foi. Elle devint donc ma sœur en Christ !
C'est après une étude biblique en famille conduite par mon père que je me convertis.« Le feu c'est comme Dieu », disait mon père. « Les humains vivent dans l'obscurité. Voyant au loin d'autres personnes profiter de la chaleur et de la lumière du feu, ils se demandent entre eux si ce feu réchauffe vraiment, s'il faut croire ces « allumés » là-bas et si le feu va vraiment dissiper leurs ténèbres ». Cette image parla à mon âme et je me repentis, pleurant à chaude larmes de toutes les choses et les pensées qui polluaient ma vie. Je me fis donc baptiser à l'âge de 15 ans, avec ma sœur cadette.
Beaucoup de changements brutaux se produisirent l'année de mes 16 ans. Ebranlée par la maladie d'Alzheimer de ma grand-mère, je fus dans le même temps éloignée de mon église « de naissance » et perdis ainsi des repères forts pour ma foi.Le lycée fut une période difficile à tous niveaux mais je savais que Dieu était avec moi.Une autre église nous accueillit et j'y épanouis avec bonheur de nouveau jusqu'à l'université.
Les vicissitudes de la vie m'ont appris que Dieu est toujours là, même si il m'est arrivé de fuir l'église pendant une période de révolte. Comme Jonas, j'ai tenté de vivre sans Lui.Mais je n'arrivais pas vivre sans Dieu ! Ma raison ne pouvait tout simplement pas imaginer un tel chaos !Cela me mena loin dans le désespoir et la détresse profonde, mais Dieu m'a ramenée à Lui.
Il m'accompagne dans tout ce que je fais et dans tout ce que je vis.
Que Son Nom soit béni !
publié le 24-09-2016
J’ai cherché longtemps le bonheur. Je l’ai cherché dans des amis, dans des lieux, dans des façons de penser et des philosophies de vie. Dans des événements. Dans ma propre personne. Et je ne l’ai pas trouvé. Bien sûr, j’ai vécu des moments de bonheurs, je me suis créé de bons souvenirs. Mais il me manquait un bonheur durable, une joie qui ne me quitterait pas.
Mais plus que tout, il me manquait une paix que je ne trouvais pas, et qui prenait la forme d’un vide immense dans mon cœur. Vide que venaient combler des angoisses, des peurs. Et tout ce qui a pris place dans ce vide m’a créé un caractère lunatique, des nerfs à fleur de peau, en permanence. Je me sentais sur la défensive, toute confiance m’avait quitté, j’étais devenue insupportable pour les autres mais encore plus pour moi. Ce n’est qu’en expérimentant cette paix que j’ai compris qu’elle était ce qui me manquait pour être pleinement heureuse.
Dieu m’a permis de grandir avec lui de plusieurs façons au cours de ma vie. Mais la plus grande marche que j’ai gravie dans la foi pour l’instant est bien d’avoir trouvé cette paix, qui a été complètement nouvelle pour moi.
J’ai dû passer il y a peu de temps un concours, ce qui a encore ajouté à mes angoisses. C’est dans cette période, pendant que je priais un jour, que Dieu m’a donné soudain une paix que je n’avais jamais connue jusqu’à présent. Alors que je lui demandais son aide et son soutien pour ces concours, mes angoisses m’ont quittée, toute crainte a disparu. Cet état m’a fait presque peur, car je savais que ce n’était pas dans ma nature d’être aussi sereine vu ce qui m’attendait. Cette paix m’a accompagnée jusqu’au concours, que j’ai réussi grâce à Dieu.
Mais tout ce qui s’était installé dans mon cœur m’a rattrapée et j’ai senti peu après que cette paix était de nouveau incomplète. Je ressentais de nouveau le vide qui avait été comblé, et j’avais plus que jamais soif de cette sérénité que Dieu m’avais donné dans sa grâce.
J’ai passé des jours dans l’attente, implorant le Seigneur de me redonner cette paix que j’avais expérimenté. C’est dans un moment de louange que j’ai reçu ce qui me permet d’être pleinement heureuse aujourd’hui. J’ai toujours été très sensible à la musique, et plusieurs fois j’ai été touchée par les paroles d’un chant. C’est ce qui s’est passé ce jour-là. Après avoir entendu un chant qui disait « fais-moi confiance », pendant lequel j’ai pleuré malgré moi, j’ai chanté « je m’abandonne ». Mon cœur était plus sincère que jamais et j’ai senti que la prière que je faisais en chantant ces mots allait changer ma vie. Au moment où je m’abandonnais à Dieu, décidant de remettre chaque seconde de ma vie entre ses mains, j’ai été envahie d’une paix incompréhensible. Une paix qui m’a effrayée, car je n’en avais jamais connu de si complète, de si parfaite. Une paix céleste, la pièce qui manquait au puzzle pour que je ressente un bonheur véritable.
Il m’aura fallu du temps pour comprendre que la base de cette paix était d’abandonner chaque instant de ma vie entre les mains de Dieu. Aujourd’hui, même dans les moments de doute, devant une décision difficile, je suis sereine car j’ai le réflexe de laisser Dieu tout conduire, en suivant Sa volonté sans imposer la mienne. Cela peut paraître difficile, car Il ne nous dévoile pas tout et nous pouvons avoir l’impression d’avancer dans le vide ou même de foncer dans un mur. Mais il faut garder à l’esprit que tout ce qu’Il a prévu est pour notre bien, et qu’Il ne permettra jamais d’épreuves qui nous feraient tomber : « Il ne permettra pas que ton pied chancelle ; Celui qui te garde ne sommeillera point. » (Ps 121 : 3). Au contraire, elles nous permettent de grandir dans la foi.
« Je vous laisse ma paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble pas et ne s’alarme pas. » Jn 14 : 27
publié le 17-09-2016
J’ai eu le privilège d’entendre parler de Dieu dès mon enfance et je n’ai jamais douté de son existence et de son intervention dans ma vie en réponse à la prière. J’allais avec plaisir à l’enseignement biblique destiné aux enfants. Mais croire que Dieu existe ne suffit pas. J’avais besoin de Lui demander pardon pour mes péchés et de Lui confier toute ma vie
Au début de mon adolescence, je pris conscience que si je mourais, je n’avais aucune certitude concernant le salut de mon âme. Cette pensée a commencé à m’assaillir de plus en plus souvent, allant jusqu’à me réveiller la nuit et à me livrer à de longs moments d’angoisse.
J’avais besoin de réaliser que ce n’est pas parce que l’on fréquente une église que l’on est chrétien et que le pardon de Dieu n’est pas réservé à ceux qui ont commis des choses graves dans leur vie. A mon jeune âge, je devais moi aussi mettre ma vie en règle avec Lui et ce n’est que lorsque j’ai pris cette décision personnelle que la paix est revenue dans mon âme. A partir de ce moment-là, j’ai eu la certitude non seulement que Dieu existe mais aussi que Jésus a donné sa vie sur la croix pour le pardon de mes péchés, qu’Il est ressuscité et vivant aujourd’hui. Enfin, je n’ai plus peur de la mort puisque je sais qu’une place m’est réservée au ciel pour l’éternité.
JESUS M’AIME ET CA JE LE SAIS !
C ’est par ma grand-mère que l’Evangile est entré au sein de ma famille. Peu de temps après leur union, mes parents acceptèrent de donner leur cœur à Jésus et deux ans plus tard, je naissais dans ce tout jeune foyer.
Avec le recul, je peux dire que dès le jour de ma naissance, le Seigneur Jésus m’a secourue. A la clinique, lavée, langée et couchée dans un joli berceau, je fus durant trois jours, oubliée de tous, ma mère me croyant dans de bonnes mains. Mais mon Seigneur veillait sur moi.
Au quatrième jour, lorsque mon père vint me voir durant son temps de repos, il trouva un bébé sans force, dans un état déplorable et qui n’exprimait plus aucun son, (pas une goutte d’eau depuis trois jours). Dans l’urgence, on ne cessa de s’occuper de moi ; l’oubliée de la clinique dont le nom n’était inscrit nulle part n’était pas oubliée de son Dieu. Il a veillé sur moi, Il m’a gardée en vie.
J’allais régulièrement à l’école du dimanche, j’aimais entendre les récits bibliques, les témoignages de mes moniteurs et monitrices de tout ce que Jésus fait encore aujourd’hui.
A l’âge de 8 ans, ma mère entretenait avec ma sœur et moi des petits temps de prière, et on l’accompagnait aux réunions à l’église.
A 11 ans, j’ai su que Jésus guérit. Atteinte d’une hépatite virale, les médecins parlaient d’une maladie longue, voire même d’une hospitalisation. L’église priait pour moi, et au bout de 15 jours à peine, j’étais sur pieds avec un féroce appétit.
C’est avec cette assurance que je peux dire que Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement. D’autres maladies et problèmes ont marqué ma vie, mais Jésus dans Sa fidélité et Son Amour m’a toujours guérie et relevée (fièvre de malte, zona, eczéma, déchirure osseuse)
A 14 ans, je passais par une expérience qui marqua définitivement ma vie. J’avais entendu parler du baptême dans le Saint-Esprit, et cela travaillait profondément mon cœur. Un soir, seule dans ma chambre, à genoux aux pieds de mon lit, je demandais au Seigneur ce merveilleux baptême. Une profonde conviction de péché vint sur mon cœur, les larmes coulèrent sur mes joues et je compris que le salut est personnel, le salut de mes parents n’était pas le mien. Jésus avait donné Sa vie sur la croix du calvaire pour moi aussi. La paix et la joie de Dieu remplirent mon cœur et ce fut avec l’effusion du Saint-Esprit que je louais mon Sauveur.
En 1979, j’engageais ma vie à suivre Jésus en passant par le baptême d’eau.
Plus tard, le Seigneur Jésus m’a fait la grâce de pouvoir entrer au C.F.B (Centre de Formation Biblique) pour une période de 3 ans, désirant me préparer pour un service efficace. Ce fut un temps unique et précieux pour ma foi et ma vie, une réelle bénédiction.
J’aurais encore beaucoup de choses à dire sur la bonté et l’Amour de mon Dieu, sur son secours miraculeux, ses délivrances, ses consolations, ses promesses personnelles pour ma vie. Je n’ai pas été élevée dans du coton, nous habitions en caserne, et par le métier de mon père (pompier de Paris), par ses récits et ce que je voyais, j’étais consciente de la dure réalité de la vie et les tentations du monde n’ont pas manqué de se présenter à mes yeux, mais dans Sa Grâce, le Seigneur Jésus m’a toujours gardée et secourue. (Esaïe 41/10 : ne promène pas des regards inquiets car je suis ton Dieu ; Je te fortifie, je viens à ton secours, je te soutiens de ma droite triomphante).
Aujourd’hui, mariée et mère de quatre enfants, son œuvre continue au milieu de nous. Dans les bons comme dans les mauvais jours, Jésus est présent.
Mon témoignage peut vous encourager, mais le plus beau témoignage est celui de Jésus-Christ dans votre vie. Acceptez son salut, goûtez et voyez combien Dieu est bon.
Publié le 06/01/2012
Mon coeur est rempli de joie parce que je suis devenue enfant de Dieu par ma nouvelle naissance.Par le sacrifice de Jésus à la croix, mes péchés ont été pardonné. Jésus est le chemin qui conduit à la vie éternelle.
Je veux lui rendre gloire.
Depuis toute petite je savais que Dieu existait et je respectais tout ce qui touchait à la religion. Mais il y avait un grand vide dans mon coeur.
Ma grand mère qui avait rencontré Jésus, suite au décès de son mari, m'apprit des cantiques dont un que j'aimais beaucoup et qui m'apaisait lorsque je n'étais pas bien : « Je n'ai que Jésus pour me diriger, je n'ai que Jésus pour me garder..., et dans mes luttes Il me soutient. Je n'ai que Jésus, je n'ai que Lui ».
Puis suite au témoignage de ma grand-mère, mes parents ont eux aussi rencontré Jésus, et nous les avons suivis aux réunions, par tous les temps. Ne possèdant pas de voiture, nous faisions 5 kms en vélo pour prendre le bus qui nous emmenait à l'Eglise. Nous mangions sur place, et le soir nous faisions le chemin dans le sens inverse. J'aimais les chants qui parlaient de Jésus et de Son Amour. Et c'est tout naturellement que je Lui ouvrais mon coeur. Jésus a changé ma vie, il a enlevé ce vide et m'a donné Sa paix, Sa joie.
Aujourd'hui, après 36 années de marche avec Lui, je peux dire qu'Il m'a gardée, soutenue et relevée bien des fois. Il est fidèle dans Ses promesses, Il est souverain et merveilleux dans tout ce qu'Il fait. Béni soit Son Nom.
J'ai entendu parler de Dieu dans mon enfance par le moyen du catéchisme. J'étais sincère, lorsqu'à 12 ans, j'ai fait ma communion solennelle. Cependant, l'enseignement que j'avais reçu en est resté là, et je n'ai plus fréquenté l'Église que pour les jours de tradition et par obligation plus que par plaisir.
Au fur et à mesure du temps, j'ai cessé toute activité religieuse, tout en gardant un esprit de superstition. Souvent, j'ai douté de l'existence de Dieu à cause des épreuves douloureuses que j'ai vécues.
J'étais en quête du vrai bonheur, de pureté, d'amour vrai et nul être humain n'avait pu me satisfaire dans ce domaine. Dieu dans sa grâce connaissait mon cœur et mes aspirations et il m'a amené, alors que je passais par une grande détresse à crier à Lui de tout mon cœur, en implorant son secours dans les larmes.
Dieu a répondu en m'envoyant une amie qui m'a parlé de l'Évangile et m'a emmenée l'écouter dans une Église évangélique. Dès la première prédication, j'ai été saisie au plus profond de mon être, la foi est venue dans mon cœur. J'ai compris que j'avais trouvé la vérité, et ce dont aspirait mon être intérieur. La Bible était un livre que je découvrais. J'étanchais ma soif en la lisant, et pour rien au monde, je n'aurais manqué d'aller aux réunions de l'Église évangélique pour entendre Dieu me parler par la bouche du pasteur.
Je découvrais l'Amour de Jésus pour moi. Et par des expériences personnelles, j'ai su qu'il était vivant, car il répondait à mes prières. Une joie profonde s'installait en moi,un changement s'opérait dans mon comportement. La vie de Dieu pénétrait mon être intérieur, je sentais que c'était ça le vrai bonheur. Je n'étais plus seule, Jésus était devenu ma raison de vivre. Je lui ai demandé pardon pour mes péchés, et je me suis fait baptiser selon l'Évangile. Mes efforts pour me changer ont été vains, Jésus seul en a eu le pouvoir.
Il y a 32 ans que j'ai pris l'engagement de suivre Jésus et de lui obéir. Durant toutes ces années, j'ai vécu diverses épreuves plus ou moins douloureuses, mais sa fidélité ne m'a jamais manqué ni son soutien.
C'est pourquoi aujourd'hui encore, je peux marcher avec persévérance en sa compagnie, jusqu'au terme de mon voyage ici-bas, où il me prendra avec Lui pour l'éternité.
A lui soit toute la gloire! Alléluia! Amen!
J'avais 4 ans quand mon père a donné son cœur à Jésus, et je fus le témoin de sa conversion et de son changement de vie. Étant petite, j'ai pu moi-même expérimenter l'amour de Jésus et lui donner mon cœur.
Hélas, le Seigneur a appelé mon père à Lui dans un accident de voiture, alors que j'avais 12 ans. Je devins alors l'aînée de six enfants. A partir de ce jour, rien n'était plus comme avant. Je boudais le Seigneur, j'étais rebelle envers Lui, sans pour autant trop le démontrer, cette rébellion était plutôt très intérieure.
En revanche, je ne remettais jamais en question son existence. Je savais qu'il était toujours là pour moi.
Mais j'ai eu du mal à faire la paix avec Lui, je ne comprenais pas pourquoi il y a des gens pécheurs qui réussissent dans la vie. Moi, j'essayais de suivre Jésus, et voilà, je suis orpheline et dans la misère. Et j'ai voulu vivre comme tout le monde, sachant que l'éternité était ma véritable interrogation. Je me demandais où était l'éternité, qu'est-ce qui peut durer éternellement, alors que tout dans le monde n'est qu' éphémère.
J'ai traîné longtemps cette amertume, mais un jour, lors d'une réunion d'évangélisation, j'ai ressenti l'appel d'amour du Seigneur envers moi, me disant que Lui s'était déjà engagé pour moi en payant mes dettes à la croix, et il ne restait plus qu'à m'engager.
C'est là que j'ai compris que le salut est personnel et qu'il dure éternellement. J'ai répondu oui à l'appel de Jésus. Je lui ai demandé pardon. J'ai reçu la paix du cœur! L'assurance de la vie éternelle!
Amen! Que son beau nom soit béni!
Je suis né dans une famille chrétienne donc depuis tout petit je connais l'histoire de Jésus.
C'est à l'âge de 8 ans que j'ai donné mon cœur à Jésus. A l'école du dimanche, j'avais entendu l'histoire qui disait (Juges 6:36-40): "Gédéon dit à Dieu: Si tu veux délivrer Israël par ma main, comme tu l'as dit, voici je vais mettre une toison de laine dans l'aire; si la toison seule se couvre de rosée et que tout le terrain reste sec, je connaîtrai que tu délivreras Israël par ma main, comme tu l'as dit. Et il arriva ainsi. Le jour suivant, il se leva de bon matin, pressa la toison, et en fit sortir la rosée, qui donna de l'eau plein une coupe... Je voudrais seulement faire encore une épreuve avec la toison: que la toison seule reste sèche, et que tout le terrain se couvre de rosée. Et Dieu fit ainsi cette nuit-là. La toison seule resta sèche, et tout le terrain se couvrit de rosée".
Le soir de ce dimanche, je fis la même chose avec un morceau d'écorce que j'avais mis dans l'herbe. J'ai fait la même prière, j'ai demandé à Dieu qu'il fasse que le lendemain, l'écorce seule soit mouillée et que toute l'herbe soit sèche. Et Dieu m'exauça comme Gédéon, l'écorce était mouillée et l'herbe était sèche. Puis le même soir, je fis la deuxième prière comme Gédéon. Et le lendemain, Dieu exauça ma prière une deuxième fois, l'écorce était sèche et l'herbe était mouillée. C'est là que j'ai compris que la Bible dit la vérité et que Dieu existe. Alors, j'ai prié en donnant mon cœur à Dieu.
Et c'est à 15 ans que j'ai décidé de m'engager pour toute la vie avec Dieu. Trois dimanches matins pendant la louange, il y a eu trois prophéties qui disaient que ça ne sert à rien d'attendre des années pour s'engager et qu'il faut prendre une décision tout de suite, avant qu'il ne soit trop tard. Au bout de ces trois fois, j'ai su que ces prophéties me concernaient, je l'ai ressenti. J'ai alors pris la décision de me faire baptiser.
J'ai entendu parler de Dieu et de Jésus pendant mon enfance. Je l'ai prié et cru jusqu'à une certaine période, où je me suis éloignée de tout ce qui était de Dieu et de la religion. Je me posais beaucoup de questions auxquelles personnes ne pouvait répondre, en particulier des questions concernant la mort. Je ne supportais pas d'entendre le mot"mort" et j'étais dans l'angoisse.
En 1985, j'ai rencontré des jeunes chrétiennes qui m'ont parlé de leur foi. Elles m'ont invitée à connaître Jésus. Jusqu'à présent, je le connaissais superficiellement et non pas en profondeur. A leur contact, j'ai appris à le connaître et j'ai compris qu'il me cherchait. Jésus a opéré un changement dans mon cœur et dans ma vie. Je l'ai reconnu comme mon Sauveur et Seigneur personnel, et je peux dire qu'il n'y a que Jésus qui ait pu faire cela, personne d'autre n'aurait pu me sauver, me guérir intérieurement et me libérer de mes craintes et de mes angoisses.
J’avais beau avoir un nom de famille merveilleux et de circonstances (CHRIST), des parents catholiques et ayant eu une scolarité dans une école catholique, je ne m’étais jamais intéressé au Seigneur, bien au contraire.